Articles

Affichage des articles du 2006

RADIO BLOUG UPDATED !!

Image
Si vous avez aimé Dengue Fever, vous serez ravis de les retrouver sur ce live enregistré par KEXP Radio à l'occasion du festival Bumbershoot de Seattle. La qualité est bonne, alors si vous ne connaissez pas ce groupe, le meilleur moyen est encore de ne pas hésiter ! La musique est éclectique et le voyage commence évidemment sur RADIO BLOUG !

Changement de cap temporaire

Image
Je serai en France, du 23 décembre au 8 janvier. A bientôt, ici ou ailleurs. Joyeux Noël à tous !

Ginza Big time !

Image
Après l'Apple Store de Shibuya il y a quelques mois, c'est dans l'auditorium de celui de Ginza que Bilel a joué cette fois, accompagné d'Izabel, Timiri et Sophie au chant. Je me suis joint à eux sur les cinq premiers morceaux. Je m'attendais bien sûr à voir des amis dans la salle, des étudiants aussi, mais certainement pas le Consul de l'ambassade et sa femme ! Certes, il a dormi un bon moment, mais il a quand même eu quelques mots de Haut Fonctionnaire à mon égard et une ou deux phrases bien choisie sur l'éducation au Japon. Sa femme, en guise d'illustration conclusive, a fini sur un très philosophe " on ne peut pas être grand si on n'a pas d'abord été petit " qui m'a laissé... rêveur...

Doki-doki boom けど よかた !

Image
Je n'ai même pas eu le temps d'en parler vraiment que déjà ça recommence ! Ce soir, j'accompagne Bilel Boucheta sur quelques uns de ses morceaux à l'Apple Store de Ginza. En attendant, voici un extrait vidéo du concert de samedi. La qualité sonore est médiocre, mais la danseuse est jolie !

Aube - よあけ

Image
En latin, albus, alba, album était un adjectif de couleur ou plutôt d'absence de couleur puisqu'il s'agit du blanc, l'aube étant bien cette espèce de clarté incertaine qui précède le lever du jour... Calme Tranquille Il fait froid et humide Sous un arbre, près du lac, un vieil homme et son petit-fils sont enroulés dans leurs courvertures La lune éclaire une pierre, une branche, une feuille au hasard La Montagne se dresse en gardienne, sombre et silencieuse Rien ne bouge A l'instant, une brise légère Le lac frémit Doucement, la vapeur s'élève avec paresse Une chauve-souris vole en silence Une grenouille plonge Puis une autre Un oiseau appelle Un autre lui répond Le vieil homme réveille son petit-fils Ils prennent de l'eau au lac et allument un feu Ils roulent les couvertures et mettent leur vielle barque à l'eau Seuls, ils traversent le lac Les rames fendent l'eau et font naître l'écume Soudain, La montagne et le lac se parent du même vert _____

Kōyō

Image
L'automne a un sens plein au Japon, il dure longtemps, évolue lentement et noue des couleurs à la fois douces et flamboyantes au bas des jupes du ciel. Longtemps avant que la métamorphose ne s'opère, une météo spéciale et des cartes détaillées informent les Japonais de l'avancée du rougeoiement des feuilles. Bien que dans les villes la terre se creuse, s'étende, et que les murs s'élèvent, qu'on oublie facilement qu'un champ ça peut être très très grand, les Japonais sont extrêmement sensibles au changement des saisons. On voit des personnes arrêtées dans la rue, des mamies qui dessinent ou des randonnées de rangs d'oignons le week-end... Il fait encore doux et beau, ce qui fait de cette saison une des plus agréables de l'année. On regrette d'avoir à travailler, on bobe au balcon en regardant la cîme des arbres, en rêvant de montagnes et de panoramas immenses. On se dit, bien sûr, que c'est sûrement mieux ailleurs... Mais Tokyo révèle des surp

Doki-doki boom !

Image
J'accompagne aux tablas, samedi prochain, trois danseuses du ventre à La Fabrique , un club de Shibuya... Mais je dois dire que pour l'instant c'est surtout mon ventre que ça fait remuer ! Bon, ça fait deux semaines qu'on bosse d'arrache-pied et d'arache-cheveux, ça devrait être sympa ! A suivre...

Vie d'immense

Image
Ma vie d’immense, ma solitude plaine À la laine de rosée un soir de gel, Aux absentes frontières des murs de peine Tu tends sur mon front des tremblements de terre. Quelques collines ou un fou bosquet d’elle Peuplent de rêve l’étendue du désert Mais le regard en caresse-t-il la cime Que l’abîme abaisse ses jupes Sur l’eau dormante où voguent ses victimes. Car l’on revient toujours au plat des lassitudes Où les mots qui s’allongent marchent deux pas de trop Et l’on glisse et l’on roule en pensant qu’en tombant C’est un pas de gagné sur le prochain élan. Mais sans ailes, sans souffle, on frémit dans l’ombre Au pied du bonheur noirci d’avenir Qui silhouette les songes d’un voile sombre. Sisyphe soit heureux, tu n’es point martyr ! Tu as pour pays le ventre des pentes Plus loin il n’y a rien que l’infini- Ment songe que notre fuite veut épouser. La terre est une boule plate À l’horizon les villes sont comme des nuages. On cherche de plus bel le chant des immortels Quelques-uns immobiles

S.I.F

Image
Alors en attendant, je rôde autour des immeubles du voisinage pour capter les réseaux wi-fi ouverts, mais il commence à faire froid... Merci Maya !

Ca se passe comme ça... chez Watami

Image
Il était temps de dire deux mots des Japonais soûls. Mais je n'aurais jamais cru faire ainsi un jour les frais de leus avaries cérébrales des soirs de fêtes... Non, ce n'est pas un mythe... Les gens qui s'endorment dans leur vomis, qui ronflent dans le caniveau ; les gens que d'autres portent, ceux que l'on a laissé là, ceux qui ne savent plus où ils habitent, ceux qui se font réveiller au terminus d'une gare à 150 Kms de chez eux... C'est un festival chaque soir, et surtout le week-end. Ils sont littéralement ivres morts. D'aucun disent que c'est parce que les Asiatiques n'ont pas le gène qui retient l'alcool ou quelque chose comme ça. Toujours est-il qu'ils sont incapables de s'arrêter avant qu'ils tombent. Et bien souvent c'est après un verre ou deux. C'est pathétique de voir les jeunes femmes permanentées, qui pensaient sans doute séduire leur homme en mettant la petite robe qu'elles venaient d'acheter à Ginza,

Ta Phrom crippled orchestra

Image

Radio Ta Prohm

Image

Comment va ton nombril ?

Image
C ’est qu’il n’y a plus personne derrière cette porte ! O ublie la sonnette ! Ce n’en est pas une d’ailleurs… Fut un temps, oui, où nous avions une liaison cellulaire, mais la ligne a été coupée… M ais puisque je te dis qu’elle n’est pas là ! Ce qu’il reste ? M élange un peu de peur, le mystère, ton passé E t si tu cherches bien, tu auras une idée… N e sois pas triste, au contraire ! T out le monde porte ainsi ce signe qui l’attache à la mère ! Écoute… V as voir jusqu’où te mène ce long collier d’amours A riane et sa vie même que tu serres en marchant S ur toi veille constamment et t’invite au retour. T u seras peut-être un jour à l’origine des rondes, U se du bonheur d’inviter l’âme au monde ! N ’oublie pas que je suis un miroir O ù se reflètent la vie, la mort, l'espoir M ire-toi dans l’eau profonde, B aigne-toi dans l’histoire R eviens me voir souvent, interroge ce soleil I l te dira où aller, te disant d’où tu viens L a vie sera plus douce et plus sûr ton chemin. Et vous , comm

Titoï

Image
- Like the bird titoï ! Titoï ! ... - Comment tu t'appoules ? Ah ! Comment tu t'appoules !! Comment tu t'appelles ? - Maya... - Maya ? Very good name !
Image
Cette fois, si vous voulez les rires, il faut aller les chercher là ...

Japoon

Image

Ta Prohm

Image

Bayon

Image
- Photo de Maya